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QUAND TU ME REGARDES (2023)

Les trois interprètes de Quand tu me regardes sont regroupés dans le côté droit de l'image, devant un rideau noir et sur un plancher de bois. Devant, Ivanie, cheveux foncés frisés attachés en demi-couette avec pantalons foncés et chemise à manche courte ouverte est assise sur l'appuie-pieds du fauteuil roulant de Maxime, cheveux lisses courts bruns, qui a les mains sur les épaules d'Ivanie. Derrière elles, Jérémie Desbiens, cheveux courts bruns et petite moustache est accroupi. On ne voit que sa tête et ses épaules. La photo est prise au moment d'un éclat de rire des trois interprètes qui montrent leur complicité.

Crédit photo : Marion Chuniaud-Lacau

Restez à l'affût : Prochaines représentations en Décembre 2024!
DESCRIPTIF - QUAND TU ME REGARDES

Des corps vibrants et des fauteuils roulants. Tout ça se déchaîne en scène dans Quand tu me regardes! Trois impressionnants performeurs font tournoyer ces supers engins, dansent avec, les défont en morceaux pour qu’ils deviennent marionnettes, roues lumineuses, robots disco… quoi d’autre? Ton imagination est la seule limite.   

Quand tu vois une chaise roulante, tu penses à quoi? Les trois interprètes tout-terrain y voient un bolide épatant aux possibilités de jeu infinies. Tu auras même droit à un cours express de démontage de fauteuils et un concours d’équilibre sur roues opposant la championne en titre et une aspirante redoutable.  

Agencé comme un joyeux collier de perles scéniques, ce spectacle tendre et ludique, pour danseur·euse·s et objets, nous entraîne dans un univers où les corps sont souvent en fusion, mais où chacun se révèle, raconte sa propre histoire en mouvement.  

C’est en plein le mandat de Corpuscule Danse, qui se consacre depuis 2000 au développement et au rayonnement d’une danse inclusive basée sur la rencontre d’artistes avec et sans handicap visible ou invisible. Dans Quand tu me regardes, les particularités de tous les interprètes sont déployées comme un grand coffre d’outils permettant de construire, déconstruire et reconstruire objets et idées, par la poésie, le jeu, l’humour et la danse, bien sûr !  

Pour tout dire, c’est l’histoire de trois humains qui partagent, le temps d’une danse, toute la fragilité et la beauté d’être soi. Ensemble.  

Sans paroles (à l’exception de quelques passages en français) ● 6 ans et +

CRÉDITS – Quand tu me regardes

Chorégraphie et mise en scène : Guillaume Chouinard
Assistance à la chorégraphie et dramaturgie : Georges-Nicolas Tremblay
Interprétation: Ivanie Aubin-Malo, Maxime D.-Pomerleau, Jerémie Desbiens
Doublures : Olivier Rousseau, Nicole Jacobs, Marie-Hélène Bellavance, Ofélie Séguin

Musique originale  : Studio La Marcelle 
Paroles et voix en wolastoqey : Ivanie Aubin Malo
Composition musicale de la chanson Nimihitôtan : Moe Clark
Paroles et voix en nêhiyawêwin : Moe Clark 

Costumes et accessoires : Amélie Charbonneau 
Scénographie : Amélie Charbonneau 
Éclairages : Karine Gauthier 
Direction technique et régie : Antoine Lefebvre
Audio description : Caroline Charbonneau
Production : Corpuscule Danse, en collaboration avec le Théâtre français du Centre national des Arts et La danse sur les routes du Québec 

Nous remercions le Conseil des arts du Canada, le Conseil des arts et des lettres du Québec et le Conseil des arts de Montréal de leur soutien. Merci également à la Maison Théâtre, au Théâtre de la Ville, au Théâtre du Marais et à la Maison de la culture Notre-Dame-de-Grâce et pour leur précieuse collaboration.

Crédit vidéo : Marion Chuniaud-Lacau

À perte de vue - Intégrale (2023)

Deux femmes à la peau blanche, vêtues de robes noires, sont face à face, légèrement penchées l'une vers l'autres, leurs têtes collées au centre de l'image. Une superposition d'images en transparence montre leurs bras entremêlées entre elles deux.

Crédit photo : Angelo Barsetti

Restez à l'affût : représentations à venir à l'automne 2024!
descriptif - À perte de vue (intégrale)

Accueil de ce qui est brisé 
Accueil de l’ininterrompu
De ce qui, entre-temps, vivra
De ce qui, entrevu, s’efface
Est-ce vivre que d’accueillir
Est-ce l’autre qui vient, déjà
François Cheng * 

À perte de vue est un diptyque de duos avec pour protagoniste principale Marie-Hélène Bellavance, entourée des interprètes Isabelle Poirier et Georges Nicolas Tremblay, sur la musique du compositeur montréalais Robert Normandeau. 

Le public est ainsi convié à un voyage intérieur sensible qui aborde les thèmes de la brisure, de la résistance, de la résilience et de la transformation à travers des paysages et des territoires propres aux chorégraphies de Lucie Grégoire.  La première partie de la pièce évoque la subsistance de ce qui est perdu. En compagnie de l’interprète Georges-Nicolas Tremblay, qui personnifie la brisure, une femme redécouvre son identité et sa liberté. Dans le flux du mouvement apprivoisé, seule et avec son partenaire, elle trouve une force qui la propulse vers une transformation. Le second duo, dansé par Marie-Hélène Bellavance et Isabelle Poirier, expose la confrontation entre ce qui est perdu à jamais et l’acceptation d’une nouvelle réalité. Les deux interprètes jouent, s’appuient l’une sur l’autre, s’imitent dans une sororité mystérieuse et intrigante. De leur rencontre naît une dynamique relationnelle complémentaire et vibrante d’humanité qui transcende l’altérité.


Crédits – À perte de vue (Intégrale)

Chorégraphie, en collaboration avec les interprètes : Lucie Grégoire

Interprètes : Marie-Hélène Bellavance, Isabelle Poirier, Georges-Nicolas Tremblay
Musique : Robert Normandeau
Éclairage : Pierre Lavoie
Conseiller à la dramaturgie : Paulo Castro-Lopes
Costumes : Marilène Bastien
Répétitrice : Dodik Gédouin
Direction technique et régie : Judith Allen
Communications : Laurie Perron
Une coproduction de Lucie Grégoire Danse et Corpuscule Danse

* François Cheng,Le livre du vide médian, Albin Michel, Paris, 2005 

Crédit vidéo : Paulo Castro-Lopes

toutes les femmes qui habitent en moi (2020)

Descriptif - toutes les femmes qui habitent en moi

Court-métrage, 15 min. Trois créatrices unissent leurs univers et leur sensibilité dans un court film d’art qui met en lumière ces liens physiques et métaphoriques entre mère et enfant, entre humain et nature. Ces fils invisibles, qui au-delà et à travers nos déchirures, nous relient aux autres et à la terre.

 Fondé en 2012, Regards Hybrides met en valeur les pratiques au croisement de la danse et du cinéma. La version intégrale du court-métrage est disponible sur leur plateforme Collection Regards Hybrides.

Dériver, se laisser porter
Ressemer, s’enraciner

Construire des villages sur nos corps enterrés

Nouer, tisser, tresser nos histoires jusqu’à s’y perdre
Y cueillir nos blessures comme un bouquet 
Une fleur à la fois

Danser
Se partager
S’abandonner 
Offrir aux grands vents l’écho de nos douleurs et de nos bonheurs
Entre les feuillages
Entre ici et là
Cœur ouvert
Paumes tournées vers le ciel

Se laisser traverser
Et se refaire avant de faner

 
crédits – toutes les femmes qui habitent en moi

Idéation : Marie-Hélène Bellavance
Création : Marie-Hélène Bellavance, Ariane Boulet et Andréa de Keijzer
Interprétation : Marie-Hélène Bellavance, Léonore Lavigne et Romane Lavigne
Direction photo et caméra : Andréa de Keijzer
Direction du geste : Ariane Boulet
Montage : Marie-Hélène Bellavance, Ariane Boulet et Andréa de Keijzer
Musique : Gabriel Vignola
Production : Corpuscule Danse

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