Dépaysement : les eaux intimes dans Le Devoir et JEU

Dépaysement : les eaux intimes. Une personne debout se cache derrière un amas de fil à coudre orangé. Devant lui, une autre personne est assise sur une chaise en bois, tenant sur ses jambes une lampe qui éclaire son visage et les murs alentours.

Aujourd’hui, un superbe article sur l’oeuvre Dépaysement : les eaux intimes vient de paraître dans Le Devoir alors que la revue JEU publiait une entrevue de cinq questions auxquelles ont répondu Marie-Hélène et Georges-Nicolas. On reconnaît la chance qu’on a de trouver notre place dans l’univers médiatique québécois.

Rappelons que Dépaysement : les eaux intimes est présenté à Fonderie Darling du 16 janvier au 7 février 2025. Au cours des trois semaines d’exposition, quatre représentations du spectacle, 22 après-midis d’habitation en présence d’artiste·s et 2 sorties de résidence du projet Murmure du vivant (de notre conceptrice sonore Alexandra Templier) sont au programme. De quoi satisfaire un public varié qui, on l’espère, prendra goût à l’oeuvre au point de retourner prendre le pouls de l’évolution de l’espace au fil des jours!

Voici quelques extraits des deux superbes articles d’aujourd’hui, qu’on vous invite à lire en entier via les liens ci-dessous!

LE DEVOIR
Dépaysement : les eaux intimes – Participer à la métamorphose (Amélie revert)

« Ledit dépaysement concerne ainsi quiconque flâne dans les espaces de la Fonderie Darling, réceptacle de cette expérience hors norme qui fait se rencontrer les rivières de l’intime dans un océan collectif. « Dans les moments de transition, il y a un état où on se sent étranger dans le familier, où on découvre les choses autrement », explique Georges-Nicolas Tremblay. L’idée d’un univers qui bascule prend donc vie à mesure que les visiteurs cheminent, pour passer, tant physiquement que poétiquement, du concret au métaphorique, du passé au présent. « 

« La transformation a lieu sous nos yeux, en temps réel, pendant trois semaines, pour ne devenir, en fin de compte, qu’un souvenir. « Deux personnes qui y participent, ensemble ou pas, pourraient se parler du spectacle et se rendre compte que leur expérience n’est pas du tout la même, parce qu’elles ont différemment été touchées ou qu’elles n’ont pas fait le même parcours », conclut-il. »

Revue JEU
Cinq questions à Corpuscule Danse

« Marie-Hélène a une formation et une pratique en arts visuels, alors que Georges-Nicolas a construit sa pratique autour de la danse. En prenant la codirection de la compagnie, les deux artistes avaient un besoin de mettre de l’avant leur force respective pour affirmer leur direction artistique. C’est donc dans un désir de décloisonnement des disciplines pour ouvrir à une approche pluridisciplinaire que ce projet est né, mais aussi dans un souci d’élargir le répertoire de la compagnie avec des propositions qui sortent des cadres plus traditionnels en arts vivants. »

« L’exposition en soi est riche à visiter, et nous espérons que plusieurs personnes viendront la découvrir, mais nous trouvions aussi intéressant d’accepter la mutabilité de l’espace. Même les gens qui viendront découvrir cette installation performative laisseront des traces et transformeront l’environnement. C’est donc une invitation à passer plus d’une fois pour vivre la transformation, comme un dépaysement progressif et bienveillant. »

Pour vous procurer vos billets pour les représentations du 16 janvier, 24 janvier, 1er février ou 7 février, cliquez ici! L’exposition est ouverte au public en tout temps sur les heures d’ouverture de la Fonderie Darling!

Cette oeuvre est une co-production de Corpuscule Danse, Danse-Cité et la Fonderie Darling.

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