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© Laurence Gagnon Lefebvre
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Fidèle à son engagement continuel de partager et de faciliter l’accès à ses ressources, le MAI (Montréal, arts interculturels) accueillera quatre groupes d’artistes en résidences rémunérées dans son espace de galerie, sur une période de 6 semaines, du 26 avril au 4 juin. Chaque groupe (Audrey-Anne Bouchard, Corpuscule Danse, Joe Jack et John, Mathieu et Simon Renaud) aura accès au lieu pour une durée de 5 à 10 jours.
Et si on réimaginait le monde II est centré sur les artistes en situation de handicap visible ou invisible, sourd-es, malentendant-es, neurodivers-es, vivant avec une maladie mentale, ou avec des capacités ou un physique différents.
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« Le handicap sous toutes ses formes existe dans chaque communauté, dans chaque facette de la société. La libération ne peut se faire seule ; nous devons nous rapprocher les uns des autres car nous faisons tous partie d'un mouvement en pleine expansion. Nous faisons la route en marchant, en roulant, en nous pavanant, en rampant, en boitant le long de celle-ci (Nomy Lamm). » – Michael Toppings | Directeur général et artistique, MAI
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RÉIMAGINER LE MONDE
Ayant vu le jour en 2019, Et si on réimaginait le monde II s’ancre dans le désir de développer une meilleure compréhension des handicaps, mais aussi de mettre au défi et de changer les façons de penser l’accessibilité, en visant la justice pour tou-te-s les handicapé-es. Les artistes invité-es de mener des recherches et les projets en développement incluent :
26 au 30 avril
Le magasin ferme de Edon Descollines, Emma-Kate Guimond et Catherine Bourgeois (Joe Jack et John)
3 au 7 mai
Fragments, une création collective impliquant les artistes Audrey-Anne Bouchard, Marc-André Lapointe, Marijoe Foucher, Laurie-Anne Langis, Joseph Browne et Vytautas Bucionis Jr.
10 au 14 mai + 17 au 21 mai
Troubleshoot de Mathieu et Simon Renaud
24 au 28 mai + 31 mai au 4 juin
Cartographie : Les eaux intimes, par les interprètes-créateur-trices suivant-es, guidé-es par Georges-Nicolas Tremblay : Marie-Hélène Bellavance, Ariane Boulet, Anthony Dolbec, Simon Renaud et Alexandra Templier (Corpuscule Danse)
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© Mikaël Theimer
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PASSER LA PUCK
3 bourses de recherche
(en association avec Joe Jack et John)
Projet impromptu en temps de pandémie, Têtes Chercheuses vise à ce que les ressources offertes aux compagnies ruissellent jusqu’aux artistes. Le MAI souhaite ainsi reconnaître et appuyer la démarche de trois femmes qui sont des forces d’action et des piliers dans leurs domaines respectifs : la diffusion, l'accessibilité, la recherche-création. Chacune de ces « têtes chercheuses » approfondira son travail tout en ouvrant ses recherches aux objectifs d’inclusion de notre mission.
Les récipiendaires comprennent :
Maxime Pomerleau, danseuse | recherche pour développer sa nouvelle création.
Claudette Lemay, artiste visuelle et audiodescriptive | recherche pour développer l'audiodescription au théâtre et l'accessibilité des personnes aveugles ou malvoyantes aux arts vivants.
Mellissa Larivière, artiste et programmatrice-curatrice | pour rechercher, connaître et apprendre à lire le travail scénique des artistes en situation de handicap, ou artistes sourd-es (DisArts).
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Le MAI s’engage à partager ses ressources, en favorisant les explorations créatives d’artistes historiquement sous-représenté-es et négligé-es. Le MAI remercie ses partenaires, ainsi que le Conseil des arts du Canada (le Fonds d’urgence), le Conseil des arts de Montréal, la Ville de Montréal, le Ministère de la culture et des communications et Patrimoine Canada.
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Fondé en 1999, MAI (Montréal, arts interculturels) est un organisme à but non lucratif qui soutient le développement, la création, la présentation et la promotion des arts interculturels destinés à des publics variés. La programmation du MAI met de l'avant des pratiques hybrides et innovantes en danse, théâtre, arts visuels, arts de la parole, performance, musique et arts interdisciplinaires, tout en tissant des liens entre les artistes et les communautés locales à travers son programme Public +.
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Le MAI reconnaît que les terres sur lesquelles nous travaillons font partie du territoire traditionnel non cédé des Kanien’keha:ka.
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